Journée annuelle de la Plateforme sanitaire et sociale 2023 | 28 novembre 2023

La plateforme sanitaire et sociale des Hauts-de-France organise sa journée annuelle le 28 novembre prochain. Cette journée aura pour thématique « Santé et environnement : de l’observation à l’action pour développer un environnement favorable à la population ». Au programme : conférence et tables rondes.

 

Date : 28 novembre 2023

Horaires : 9h30 à 16h00

Lieu : Amphithéâtre Fernel – Université de Picardie – 3 rue des Louvels – AMIENS

Pour vous inscrire, cliquez ICI

Table ronde en ligne Mardi 17 octobre 2023 | « Pour mon bien-être, j’agis pour la planète »

La Mutualité française Auvergne-Rhône-Alpes organise une table-ronde en ligne gratuite « Pour mon bien-être, j’agis pour la planète » afin de sensibiliser le grand public  à ce sujet.

Le débat  permettre de :

• Poser les constats du dérèglement climatique,

• Faire les liens entre le dérèglement climatique et nos pratiques et comportements,

• Comprendre les effets du dérèglement climatique sur la santé mentale,

• Identifier les leviers pour limiter les impacts et favoriser le mieux-être.

 

Cette Table-ronde sera animée par Loïc RIVIERES, journaliste, avec la présence de :

Alice DESBIOLLES, Médecin de santé publique, épidémiologiste et auteure,

Philippe PERRIN, Eco-infirmier,

• Valentine VAUDEY, Chargée de mission – Auvergne-Rhône-Alpes Energie Environnement.

Xavier LACOMBE, dessinateur, proposera en direct des crayonnés humoristiques pour résumer les échanges

Inscription obligatoire en flashant le QR-code

Vernis semi-permanent : l’Académie de Médecine alerte sur les risques.

Le vernis semi-permanent a l’avantage d’avoir une tenue plus longue qu’un vernis classique, entre 2 et 3 semaines. Son application nécessite donc une technologie particulière : plusieurs couches de vernis (au moins 4) et un séchage par une lampe qui combine des UV et une diode électroluminescente (LED).

Ces lampes émettent des UVA qui peuvent favoriser le vieillissement mais aussi le développement de cancers de la peau. Ils sont d’ailleurs classés cancérigènes avérés pour l’Homme (groupe 1) par le Centre International de Recherche sur le Cancer.

Le risque de cancer dans le cadre de l’usage des vernis à ongles semi-permanent semble lié à 3 facteurs :

  • L’âge jeune de début d’utilisation de cette technologie (en moyenne 20 ans) ;
  • La fréquence rapprochée des expositions (moyenne de 5 à 6 fois par an, voire plus avec le développement des lampes à domicile) ;
  • L’exposition pendant plusieurs années.

Dans son article d’avril 2023 : l’Académie recommande « d’appliquer une crème solaire avec une protection UVA indiquée, environ 20 minutes avant l’exposition des mains aux lampes UV / LED » et d’informer le grand public et les professionnels sur les risques liés à une application continue des vernis semi-permanents dans l’année, en particulier chez les personnes de phototype clair.

Retrouvez l’article de l’Académie nationale de Médecine en suivant ce lien : https://www.academie-medecine.fr/des-ongles-brillants-mais-pas-sans-risque/

 

Rappelons qu’en 2017, l’ANSES avait effectué une expertise sur les risques professionnels liés aux produits utilisés dans les activités de soins et de décoration de l’ongle (pour les professionnels du soin et de la décoration de l’ongle comme les prothésistes ongulaires et les esthéticiennes). Près de 700 substances avaient été identifiées dans la composition des produits utilisés ou dans les atmosphères de travail, dont 60 qui figurent dans une classe de danger la plus élevée (en cause : leur classification CMR, sensibilisant et / ou inscrits sur une liste de perturbateurs endocriniens potentiels).

L’article de l’ANSES concernant cette expertise est disponible en cliquant sur ce lien : https://www.anses.fr/fr/content/professionnels-du-soin-et-de-la-d%C3%A9coration-de-l%E2%80%99ongle-exposition-%C3%A0-de-nombreuses-substances

 

Devant la multitude des substances entrant dans la composition des vernis (sous quelque forme que ce soit), le projet FEES recommande d’éviter l’application chez la femme enceinte.

 

Article publié en octobre 2023

09 novembre 2023 │Mise à jour des connaissances en ligne

L’équipe du projet FEES de l’APPA propose aux professionnels ayant suivi la formation FEES théorique il y a quelques années une session de mise à jour des connaissances en ligne.

Date : le jeudi 09 mai 2023 de 10h00 à 12h00

Au programme : les items abordés en formation pour lesquels de nouvelles données scientifiques ont récemment été intégrées aux présentations. Ce temps d’échange sera l’occasion d’échanger sur les nouveautés scientifiques, ainsi que sur les conseils à transmettre aux futurs et jeunes parents.

o   DOHaD

o   Tabagisme ultra-passif et cigarette électronique

o   Les additifs alimentaires

o   L’alimentation infantile

o   Le change du nourrisson

o   Les parfums dans les cosmétiques

La Puff, qu’est-ce que c’est et pourquoi est-ce dangereux ?

La cigarette Puff, également appelée cigarette électronique jetable, est un dispositif qui permet de vapoter sans avoir à recharger la batterie ou remplir le réservoir de e-liquide.

Cette cigarette électronique est arrivée sur le marché français en 2021, popularisée via les réseaux sociaux, par une image plutôt positive et inoffensive. Elle a rapidement connue un net succès, notamment auprès des jeunes, du fait de sa simplicité d’utilisation, de sa discrétion et des saveurs proposées rappelant les bonbons.

Les arômes alimentaires utilisés pour apporter de la saveur à la vape, peuvent être synthétiques ou naturels, ils participent à oublier le tabac et l’envie de fumer une cigarette normale.

Cependant, ces arômes alimentaires ont été conçus pour être ingérés et non inhalés, et à l’heure actuelle, l’impact de leur inhalation sur la santé n’est pas connu.

 

Nocivité de la Puff et interdiction:

Une Puff contient en moyennes 600  bouffées, soit l’équivalent de 40 cigarettes.

La concentration en nicotine dans le e-liquide doit être  indiquée sur l’emballage et  dépend des préférences du consommateur, la règlementation européenne prévoit qu’elle puisse aller jusqu’à 20 mg/ml  (soit 1,8%).

L’ACT-Alliance contre le tabac alerte  sur l’utilisation de la Puff qui augmente les risques de développer une inflammation des voies respiratoires et impacte les acquisitions cognitives des plus jeunes.

Par ailleurs, le taux de nicotine est suffisamment élevé pour créer une forte dépendance et constituer une porte d’entrée vers le tabagisme.

Dans un récent rapport, le Haut Conseil de santé publique affirme que plus on est exposé tôt à la nicotine, plus on risque de développer une réelle dépendance et de vouloir passer à la cigarette.

C’est pourquoi  la puff est à éviter chez les mineurs, surtout si le e-liquide contient de la nicotine.

Parole du Dr Loïc Josseran, médecin en santé publique à l’hôpital Raymond-Poincaré de Paris et Président d’Alliance contre le tabac :

« Ce n’est pas tant la teneur en nicotine qui est dangereuse, mais la façon dont on va l’absorber : un produit sur lequel on va pouvoir tirer très fort, très vite. Ces jeunes vont ainsi se shooter à la nicotine, qui met une seconde à passer du réservoir au cerveau. Une dépendance peut très vite s’installer, d’autant que le cerveau est jeune. Et lorsqu’ils n’auront pas leur dose, certains seront en situation de manque. Ce produit va conduire ces jeunes, tout juste collégiens, vers une consommation de cigarettes à terme »

Pour toutes ces raisons, une loi interdisant la puff en France est entrée en vigueur le 25 février 2025. Vous pouvez en savoir plus en lisant cet article : https://www.projetfees.fr/linterdiction-de-la-puff-est-entree-en-vigueur/

Son impact sur l’environnement :

La Puff est un déchet supplémentaire (elle est composée de plastique et d’une batterie au lithium) représentant un danger immédiat et à long terme pour notre environnement !

Si certains fabricants revendiquent la recyclabilité de leurs produits aucune source vérifiable ni label indépendant le confirme.

Quelques conseils destinés aux personnes qui vapotent :

  •  Vapoter à l’extérieur.
  •  Ne pas dépasser la teneur en nicotine de 20mg/ml, ( !!! achat par internet).
  •  Éviter les arômes attrayants (ils peuvent prolonger votre durée de vapotage).
  •  Éviter de cumuler consommation de cigarette classique et vapotage.
  •  Une fois vide,  jeter la Puff dans les  poubelles prévues à ces déchets (déchetterie ou dans les collecteurs pour piles usagées ou déchets électroniques).

Rappelons que les cigarettes électroniques peuvent être un moyen de sevrage tabagique, mais comme pour l’arrêt du tabac, il est conseillé de se faire accompagner par un professionnel formé en tabacologie. Pour en savoir plus sur la cigarette électronique et les connaissances sanitaires à son sujet, vous pouvez lire notre Faq  :

Est-ce que la cigarette électronique est sans danger pendant la grossesse ?

Sources :

http://alliancecontreletabac.org/wp-content/uploads/2022/10/CP-ACT_Les-jeunes-et-la-puff.pdf

https://www.60millions-mag.com/2022/04/11/les-vapoteuses-jetables-sous-le-feu-des-critiques-19858

Les produits de vapotage / cigarette électronique – Ministère de la Santé et de la Prévention (sante.gouv.fr)

Avis relatif aux bénéfices-risques de la cigarette électronique (hcsp.fr)

https://www.academie-medecine.fr/la-puff-nouvelle-cigarette-electronique-jetable-un-piege-pour-les-enfants-et-les-adolescents/

Publié en août 2023

Publié dans : FAQ

06 octobre 2023 | 8ème Journée Régionale de l’Allaitement Maternel

A l’occasion de la Semaine Mondiale de l’Allaitement Maternel 2023, l’association Information Pour l’Allaitement organise le 6 octobre 2023, la 8eme Journée Régionale de l’Allaitement Maternel, en visioconférence.

Tous les ans, Information Pour l’Allaitement organise un évènement dédié à la promotion de l’allaitement maternel destiné aux professionnels de tous horizons, aux étudiants, aux parents et aux associations de soutien à l’allaitement maternel. Le but est de former, informer, se rencontrer et échanger. L’évènement alterne entre format présentiel et format en ligne selon les années afin de maintenir un équilibre. Cette année, l’APPA participera à cette journée et abordera l’exposition des femmes enceintes et des jeunes enfants aux polluants environnementaux.

Date et horaires : Vendredi 06 octobre 2023 de 13h30 à 16h35

Vous trouverez plus d’informations sur le programme, les inscriptions et les tarifs ICI

14 septembre 2023 | Webinaire « le nourrisson, son environnement, sa santé »

L’APPA organise, avec le soutien de l’ARS Grand Est et des réseaux de périnatalité de la région, un webinaire de sensibilisation sur la santé environnementale et la périnatalité. Ce webinaire, intitulé “Le nourrisson, son environnement, sa santé,” et à destination des professionnels de la santé et de la périnatalité, permettra d’aborder les principaux conseils à transmettre aux patientes.

Date et horaires: 14 septembre 2023 de 18h à 19h30

Pour vous inscrire, cliquez ici

09 septembre 2023 | Atelier : « Parents, Bébé environnement et santé » | Saint-Jean-De-Bassel

La Mutualité Française Grand Est, partenaire du projet FEES propose tout au long de l’année des ateliers prévention à destination des jeunes et futurs parents, professionnels de la petite enfance.

Ces Ateliers « Parents Bébé Environnement Santé » visent à informer les participants sur la qualité de l’air intérieur, les polluants dans l’alimentation et les cosmétiques et savoir comment s’en protéger.

Ces évènements sont gratuits et ouverts à tous.

A quoi servent les additifs alimentaires ? Sont-ils dangereux pour la santé ? Comment les éviter ?

Les additifs alimentaires ont envahi notre alimentation : il existe aujourd’hui plus de 300 additifs autorisés dans l’alimentation conventionnelle en France (contre à peine 50 dans l’alimentation issue de l’agriculture biologique).

Les additifs alimentaires sont définis par la directive européenne 89/107/EEC.

Ils ont pour objectif d’améliorer les caractéristiques d’un produit alimentaire afin d’obtenir une meilleure conservation du produit, un meilleur aspect esthétique ou encore une meilleure qualité gustative. Les additifs alimentaires sont classés dans 24 catégories selon leur utilisation, et sont codifiés avec la lettre E suivie d’un nombre compris entre 100 et 1518. Il est donc facile de les repérer dans une liste d’ingrédients.

Ci-dessous les 4 grandes familles d’additifs :

  • E100 à E180 : colorants
  • E200 à E287 : conservateurs
  • E300 à E337 : antioxydants
  • E400 : agents de texture = arômes, émulsifiants, gélifiants, etc.

Concernant l’alimentation infantile destinée aux moins de 3 ans, le nombre d’additifs autorisés est très limité, et les colorants, édulcorants et exhausteurs de goût sont interdits.

Avant d’être autorisé par l’EFSA (Autorité Européenne de Sécurité des Aliments), chaque additif doit prouver son utilité et son innocuité pour la santé du consommateur.

Une DJA (dose journalière admissible) à ne pas dépasser est alors fixée, mais le calcul de ces DJA est parfois critiqué, et les DJA peuvent également être dépassées dans le cas d’une consommation importante de certaines denrées (l’aspartame pour les produits allégés ou encore les sulfites présents dans le vin, la charcuterie et les biscuits apéritifs).

Notons qu’une réévaluation européenne systématique de l’ensemble des additifs autorisés a été menée récemment par l’EFSA.

Alors que certains additifs ne présentent aucun effet néfaste sur la santé, d’autres sont suspectés d’être allergènes, cancérigènes ou, par exemple de favoriser une hyperactivité.  Pour s’y retrouver, l’UFC Que-Choisir a créé un tableau récapitulant l’ensemble des additifs pouvant présenter un effet potentiellement toxique pour la santé : http://www.quechoisir.org/alimentation/securite-hygiene/etude-liste-des-additifs-alimentaires

En gardant en tête le principe de précaution concernant ces substances « Moins on en consomme, mieux on se portera », voici également quelques conseils pour limiter son exposition aux additifs, notamment pendant la grossesse et chez l’enfant :

  • Faire la cuisine soi-même autant que possible ;
  • Encourager la consommation de produits frais ou surgelés, non transformés ;
  • Éviter les produits lights qui contiennent des édulcorants ;
  • Privilégier les listes d’ingrédients courtes sur les étiquettes des produits industriels ;
  • Favoriser les petits pots faits-maison en respectant certaines précautions pour les légumes (retrouvez notre FAQ à ce sujet en suivant ce lien : https://www.projetfees.fr/nitrates-dans-les-legumes-est-ce-que-ca-pose-probleme-pour-mon-bebe/ )
  • Varier son alimentation et ses sources d’approvisionnement.

Pour aller plus loin, consultez nos FAQ sur les nitrites et la stevia : https://www.projetfees.fr/on-parle-des-nitrites-dans-les-aliments-est-ce-dangereux-pour-les-femmes-enceintes/ https://www.projetfees.fr/que-penser-de-la-stevia/

Sources :

https://www.anses.fr/fr/content/le-point-sur-les-additifs-alimentaires 

https://agriculture.gouv.fr/tout-savoir-sur-les-additifs-alimentaires

Mis à jour en juillet 2023

Publié dans : FAQ

Ondes électromagnétiques : quels conseils pour mes patientes ?

Au quotidien, nous sommes principalement exposés à 3 types d’ondes électromagnétiques (OEM) :
– Les ondes extrêmement basses et basses fréquences (1 Hz à 8.3 kHz) : ligne à haute tension, planchers chauffants électriques et appareils électriques domestiques (sèche-cheveux, rasoir électrique…)
– Les radiofréquences ou ondes radio de moyennes fréquences (8.3 kHz à 300 MHz) : émetteurs radio, télévision, écran d’ordinateur, plaques à induction…
– Les hypers ou hautes fréquences (300MHz à 300 GHz) : technologies sans fil (Wifi, Bluetooth, babyphone, téléphonie 4G/5G), fours à micro-ondes, radars, antenne-relais…

* Que sait-on de leurs impacts sur la santé humaine?

Les études scientifiques sur le sujet font encore l’objet de controverse, mais il est important de rappeler que les niveaux d’exposition sont inférieurs aux limites règlementaires.

L’effet avéré, et le plus connu, des OEM est un effet thermique (échauffement des tissus). Les autres effets posent encore questions : le CIRC classe les radiofréquences et les ondes extrêmement-basses fréquences comme peut-être cancérogènes pour l’homme (groupe 2B).

Dans son rapport de 2016, l’ANSES montrait des effets possibles des radiofréquences sur les fonctions cognitives (mémoire, fonctions exécutives, attention) des enfants. Un impact était également possible sur le bien-être de l’enfant mais il semblait plus lié à l’usage de la téléphonie mobile (et donc des écrans) qu’aux ondes.

Les organes du fœtus et de l’enfant sont plus perméables aux OEM : par exemple, le cerveau d’un enfant absorbe deux fois plus l’énergie des ondes qu’un cerveau d’adulte. Pour cette raison, les femmes enceintes et les enfants sont plus vulnérables à l’exposition à ces ondes. D’où l’importance de les exposer le moins possible et le plus tard possible.

* Quelques conseils généraux pour réduire l’exposition aux OEM :

  • Pour les enfants: limiter l’exposition en s’éloignant le plus possible des appareils émetteurs et diminuer le temps d’exposition. Limiter l’usage prolongé du téléphone, des tablettes, consoles de jeux, objets ou jouets connectés. On conseillera également d’éviter tout écran avant l’âge de 3 ans (https://www.projetfees.fr/les-ecrans-sont-ils-si-dangereux-pour-les-tout-petits/).
  • Pour les femmes enceintes: par principe de précaution, il est recommandé de s’exposer le moins possible. Pour cela, évitez de poser l’ordinateur ou le téléphone sur le ventre. S’éloigner lors de l’utilisation du micro-ondes et des plaques à induction.
  • Privilégier les connections filaires (câble Ethernet, oreillettes filaires) plutôt que les connections WIFI ou Bluetooth.
  • Débrancher les appareils non utilisés ou les programmer pour s’éteindre (box, Wifi …). Éviter de charger ses appareils à côté de la tête de lit ou sous son oreiller la nuit.

* Conseils pour le babyphone :

Se questionner d’abord sur son utilité.
– Le choisir plutôt analogique, à fil ou se déclenchant à la voix (mode VOX). Éviter la technologie DECT, les babyphones avec caméras et les applications smartphones reliées.
– Toujours placer le babyphone à plus d’1,50m du lit du bébé dans la direction des pieds plutôt que de la tête.

* Conseils pour l’utilisation des téléphones :

– Choisir un téléphone mobile dont la valeur de DAS est la plus basse possible.
– Privilégier les sms ou les mails plutôt que les appels téléphoniques.
Utiliser un kit main-libre filaire ou le haut-parleur pour garder le téléphone le plus éloigné possible de son oreille.
Privilégier les zones de bonne réception (4 barres de réseau).
– Éviter de porter son téléphone proche du corps (dans la poche par exemple) et le mettre en mode avion ou l’éteindre quand il n’est pas utilisé.
– Penser à l’exposition passive en s’éloignant des personnes vulnérables (enfants, femmes enceintes, personnes électrosensibles …).
– Se méfier des gadgets protecteurs d’ondes (patch dits « anti-ondes »), ils sont souvent inefficaces.

Sources:

Mis a jour en juillet 2024

Publié dans : FAQ