Nouvelles données du programme national de biosurveillance Esteban 2014-2016.

De nouvelles données concernant l’imprégnation de la population française par certains pesticides (amitraze, fipronil, méthomyl, bromoxynil et carbendazime) ont récemment été publiées par Santé Publique France .

Ces données viennent de la cohorte Esteban avec un sous-échantillon de 1000 adultes (18-74 ans), les dosages n’ont pas pu être réalisés chez les enfants.

Les pesticides sériques analysés dans ce rapport sont issus de la priorisation débutée pour l’élaboration du programme national de biosurveillance. Dans la littérature scientifique, il y a peu de données concernant l’exposition et l’imprégnation en ces pesticides.

 

Parmi les différentes substances et métabolites recherchés, seul le bromoxynil a été quantifié chez tous les adultes. Le fipronil-sulfone, métabolite du fipronil, a également été quantifié pour plus de la moitié de la population étudiée (53,4%).

Les autres pesticides ou métabolites étaient peu ou pas quantifiés. Notons qu’ils n’étaient plus utilisés en France en usage phytopharmaceutique, en effet à cette date, parmi les substances recherchées, seuls le bromoxynil et le fipronil étaient encore autorisés pour cet usage.

Le bromoxynil est une substance active de produit phytopharmaceutique, présentant un effet herbicide. Sur le plan de la réglementation des produits
phytopharmaceutiques, au niveau de l’Union européenne, l’approbation a expiré au 31 juillet 2021.

Le fipronil est un insecticide dont l’approbation dans la réglementation des produits phytopharmaceutiques a été retirée en 2017. Aucun usage phytopharmaceutique n’est plus autorisé pour le fipronil. Il est autorisé en usage biocide dans certains produits destinés à lutter contre les fourmis, les blattes/cafards ou les termites, destinés au grand public et aux professionnels. Il n’est autorisé pour aucun autre usage biocide. En France, il est aussi présent dans certains médicaments vétérinaires (traitements antiparasitaires externes à usage topique destinés à traiter les chiens, les chats et les furets).

 

Les déterminants de l’imprégnation ont pu être recherchés pour le bromoxynil uniquement. Des associations ont été retrouvées entre l’imprégnation et l’environnement résidentiel, la saison de prélèvement sanguin et la consommation de légumes du potager (également appelée autoconsommation de légumes).

Ainsi, une tendance à l’augmentation de l’imprégnation était retrouvée pour les personnes :

  • Habitant à moins de 200m de cultures,
  • Résidant dans une ferme,
  • Habitant à moins de 200m d’une voie ferroviaire.

L’imprégnation était également plus importante chez les personnes vivant en maison individuelle, par rapport à celles vivant en appartement.

D’autre part, les adultes consommant 1fois/semaine ou plus des légumes de leur propre jardin, avaient des concentrations sériques plus élevées. Neuf adultes présentaient des niveaux supérieurs au 99è percentile de la distribution (1638ng/L, la concentration moyenne des adultes pour cette substance était de 324ng/L), parmi eux tous sauf un consommaient leurs propres légumes et 7 utilisaient des pesticides dans leur potager (7 de ces personnes vivaient également à moins de 200m d’une zone de culture).

 

Il n’y a pas de comparaison possible avec d’autres études françaises ou étrangères.

En revanche, la répétition du dosage permettra de voir si l’interdiction du bromoxynil et du fipronil en usage phytopharmaceutique, aura une incidence sur les prochains niveaux mesurés dans la population française.

 

Retrouvez plus d’informations concernant ces nouvelles données, sur le site de Santé Publique France, en suivant ce lien : https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/exposition-a-des-substances-chimiques/pesticides/documents/enquetes-etudes/impregnation-de-la-population-francaise-par-l-amitraze-le-fipronil-le-methomyl-le-bromoxynil-et-la-carbendazime.-programme-national-de-biosurvei

Programme 2022 – 2023 du projet FEES en Île-de-France

Dans ce programme, retrouvez toutes les actions menées par l’équipe du projet FEES en région Île-de-France, à destination des professionnels de la santé et de la périnatalité: 

  • Webinaires de sensibilisation ;
  • Formations théoriques ;
  • Formations pratiques “Ambassadeurs” ;
  • Accompagnement des professionnels dans la mise en place d’actions. 

Le programme détaillé ainsi que toutes les dates programmées sont disponibles en cliquant ici.

Table ronde Santé Environnement : « Agir local dans une approche globale »

La Mutualité française Auvergne-Rhône-Alpes, en partenariat avec l’Agence régionale de Santé Auvergne-Rhône-Alpes, a le plaisir de vous convier à une table ronde réunissant plusieurs experts qui apporteront leurs éclairages et réponses sur des questions de fonds :

Au coeur des débats de la société, nous avons tous conscience aujourd’hui de l’impact de l’environnement sur notre santé et sur l’accroissement des inégalités sociales, territoriales et de genre. Entre le réchauffement climatique, la déforestation, l’urbanisation, l’industrialisation, nous voyons émerger de nouveaux virus et une qualité de l’air affectée.

Comment faire les bons choix, adopter les bons gestes pour freiner ces expositions et accroître notre espérance de vie en pleine santé ? Comment agir localement dans une approche globale de santé ? Comment mobiliser nos professionnels de santé et professionnels du champ médico-social, les services de l’état, les collectivités en première ligne sur ces questions ?

Cette table ronde se déroulera :

Mardi 15 novembre 2022 de 18h à 20h
Accueil à partir de 17h30

au Médipôle Lyon-Villeurbanne
Espace Simone Veil (salles au rez-de-chaussée)
158 rue Léon Blum – 69100 Villeurbanne

Grand Parking sur place (GRATUIT dans le cadre de l’évènement)

INSCRIPTION GRATUITE ET OBLIGATOIRE (suivez le lien ci-dessous)

Santé-environnement : agir local dans une approche globale [Table-ronde en présentiel] – Mutualité française Auvergne Rhône Alpes (mutualite.fr)

« La santé environnementale, une opportunité pour les professionnels de santé »

Le Réseau ÎSÉE organise avec le laboratoire Dispositif d’information et de communication à l’ère du numérique (DICEN-IDF) du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) et le groupe de travail santé-environnement de l’AP-HP, une journée de réflexion imaginée par un groupe de travail composé d’acteurs issus des mondes de la santé humaine et animale : « La santé environnementale, une opportunité pour les professionnels de santé ».

Les échanges porteront sur des leviers à disposition des professionnels de santé pour faire de la santé environnementale une opportunité pour leurs pratiques, à partir d’exemples concrets mis en œuvre en France. Cette journée sera également l’occasion de rencontres entre acteurs de la santé de tous horizons afin de créer de nouvelles synergies sur les territoires.

Date : 8 novembre 2022  

Lieu : Conservatoire national des arts et métiers, 75003 Paris.  

Le colloque est ouvert à tous, gratuit. Il peut être suivi en présentiel ou à distance.  

 

Programme et inscription :  

https://www.ors-idf.org/isee/nos-activites/evenements/la-sante-environnementale-une-opportunite-pour-les-professionnels-de-sante/

Santé environnementale et reproductive : découvrez le centre REPROTOXIF

Constitué d’experts en santé environnementale, reproductive et en pathologie professionnelle, le Centre REPROTOXIF (basé à l’hôpital Fernand Widal) offre une prise en charge individualisée et gratuite visant à prévenir les expositions à risque pour la fertilité et la grossesse. Notre public cible concerne l’ensemble des couples franciliens ayant un projet de grossesse ainsi que toutes femmes enceintes franciliennes.

Concrètement, dans votre pratique, vous pouvez référer vos patientes vers le Centre REPROTOXIF dès que vous les rencontrez.

Une analyse rigoureuse de leurs expositions à risque dans leur environnement domestique et professionnel sera réalisée, et au besoin, une consultation environnementale leur sera proposée.

Que met-on derrière les expositions environnementales ? Sur le lieu de travail, il peut s’agir de produits chimiques dangereux, de virus, du port de charges lourdes ou encore d’un niveau de stress élevé. À la maison, nos habitudes de vie et de consommation influencent la qualité de notre environnement, certains produits du quotidien peuvent dégrader la qualité de l’air intérieur et constituent des leviers de prévention à connaître et faire connaître !

Pour en savoir plus sur le Centre, n’hésitez pas à consulter la vidéo de présentation en cliquant ici.

Bon à savoir :

Les sages-femmes du Centre proposent des consultations en santé environnementale dans trois maternités parisiennes : Necker, Tenon (service maternité et AMP), la Pitié Salpêtrière.

Des ateliers en santé environnementale seront prochainement proposés une fois par mois à la maternité de Necker et à la Pitié Salpêtrière.

CONTACT

Consultez leur site, véritable mine d’informations sur le sujet de la santé environnementale : www.reprotoxif.fr

Pour tous renseignements, distribution de flyers & dépliants pour vos cabinets/salles d’attente, contactez Flavie Cocher et Estelle Dordeins (sages-femmes) : contact@reprotoxif.fr / 01 40 05 44 94

On parle des nitrites dans les aliments, est-ce dangereux pour les femmes enceintes ?

 

Les nitrites sont présents dans notre alimentation, majoritairement en tant qu’additifs (E249 et E250), ce sont des conservateurs utilisés pour leurs propriétés antimicrobiennes et ils permettent également de conférer à certaines viandes la couleur rose. On les retrouve principalement dans les produits carnés tels que la charcuterie.
En effet, la charcuterie représente entre 41 et 63% de nos apports en nitrites. Les deux produits contributeurs majeurs étant le jambon cuit et les saucisses-saucissons cuits.

Une fois ingérés, les nitrites peuvent être transformés lors de la digestion en composés toxiques, appelés composés N-nitrosés.
Ainsi, les nitrites, ingérés dans des conditions où ils peuvent entrainer la formation de composés endogènes nitrosés, ont été classés probablement cancérogène pour l’homme par le CIRC en 2010 (2A).
Notons que la consommation de viande transformée (incluant la charcuterie) a été elle-même classée cancérogène avéré pour l’homme.

Pour les femmes enceintes, comme pour le reste de la population, on retiendra donc de :
– Privilégier une alimentation fait maison et limiter les aliments transformés,
Et notamment limiter la consommation de viande transformée/charcuterie à 150g/semaine.

Précisons que les additifs nitrés sont de plus en plus controversés, et certains fabricants les suppriment donc progressivement. Attention toutefois, car ils sont parfois remplacés par des bouillons de légumes riches en nitrates qui conduisent finalement à la même exposition aux composés N-nitrosés.

En effet, les nitrates (présents également dans certains produits tels que charcuterie ou fromages en tant qu’additifs : E251 et E252), sont également classés probablement cancérogène pour l’homme par le CIRC. Tout comme pour les nitrites, ce classement concerne les nitrates ingérés dans des conditions où il peuvent entrainer la formation de composés endogènes nitrosés.
Mais, contrairement aux nitrites, nous les ingérons surtout dans notre alimentation végétale (certains légumes ayant une forte teneur en nitrates, cf https://www.projetfees.fr/nitrates-dans-les-legumes-est-ce-que-ca-pose-probleme-pour-mon-bebe/ ) et dans l’eau de boisson. La part des nitrates ingérée en tant qu’additif est très faible dans l’exposition totale.

 

Enfin, rappelons que la consommation de viande crue est déconseillée chez la femme enceinte à cause du risque de listériose, la viande (ainsi que le poisson et les œufs) doivent donc être préférentiellement consommés bien cuits pendant la grossesse.

 

Pour en savoir plus sur les nitrates et les nitrites, et le récent rapport de l’ANSES à ce sujet, cliquez sur ce lien : https://www.projetfees.fr/nitrates-et-nitrites-que-nous-apprend-le-recent-rapport-de-lanses/ .

 

Publié en octobre 2022

Publié dans : FAQ

Découvrez le nouveau DU 2022-2023 sur les 1000 premiers jours

PARCOURS DES 1000 PREMIERS JOURS : ACCOMPAGNER LA FAMILLE

L’objectif général de cette formation est d’assurer le suivi du
capital santé et du développement de l’enfant durant les 1000ers
jours
Les objectifs spécifiques sont :
• S’approprier le concept des 1000ers jours
• Approfondir ses connaissances sur le développement de
l’enfant et ses besoins en s’appuyant sur les nouvelles
recherches.
• Acquérir des connaissances théoriques et pratiques dans
le soutien à la parentalité pour renforcer le parcours des
1000ers jours
• Animer des groupes de pair aidance au sein d’une maison
des 1000ers jours.
• Travailler en mode projet au sein de son territoire pour
développer une culture de prévention au cours des 1000ers
jours.

PUBLIC VISÉ
• Professionnels de santé (Infirmières, puéricultrices,
sages-femmes, pédiatres, obstétriciens, pédopsychiatres,
psychiatres, psychologues…)
• Professionnels de la petite enfance, éducation nationale,
périscolaire, la protection de l’enfance.

Retrouvez ci-dessous le lien d’inscription ainsi que le programme du DU 

(date limite de Candidature au 1er novembre 2022)
INSCRIPTION
medecine.univ-lille.fr

Personne en charge de l’inscription :
Yamna Anjar
Mail : yamna.anjar@univ-lille.fr
03 20 62 68 12

Webinaire « Prévenir les expositions aux polluants environnementaux pendant la période périnatale »

Le projet FEES avec le soutien de l’ARS, propose aux professionnels de santé un webinaire « Prévenir les expositions aux polluants environnementaux pendant la période périnatale ».

2 dates sont proposées :

Mardi 6 décembre de 14h00 à 16h00 – je m’inscris

Mardi 17 janvier de 19h30 à 21h30 – je m’inscris

nous contacter à l’adresse projetfees@appa.asso.fr

Nitrates dans les légumes : est-ce que ça pose problème pour mon bébé ?

Les nitrates sont des dérivés de l’azote. Ils sont présents naturellement dans les légumes (cette présence naturelle peut être renforcée par des pratiques agricoles, telle que l’utilisation excessive d’engrais chimiques), et particulièrement dans certains légumes comme les épinards, la laitue, la roquette, le chou chinois, la betterave et le radis.

On trouve également des nitrates dans l’eau et en tant qu’additifs dans la charcuterie ; mais nos apports principaux proviennent des légumes.

Chez les enfants, l’ingestion d’une quantité importante de nitrates peut, suite à une transformation des nitrates en nitrites, conduire à une maladie rare nommée méthémoglobinémie (les nitrates ne sont pas les seules molécules susceptibles d’entrainer cette maladie). Cette maladie provoque plusieurs symptômes, dont le principal est la cyanose (d’où le nom plus commun de la maladie : « syndrome du bébé bleu »), et entraine une hypoxie tissulaire (c’est-à-dire un manque d’oxygène).

La transformation des nitrates en nitrites augmente :

  • Lorsque le temps entre la préparation et la consommation des légumes augmente,
  • Lorsque le stockage des légumes est inapproprié (stockage prolongé de légumes cuits à température ambiante),
  • Lorsque les légumes sont réduits en purée.

Elle est également favorisée quand l’enfant souffre d’une infection bactérienne intestinale.

Elle est en revanche stoppée par la congélation.

En s’appuyant notamment sur les conclusions de 2010 de l’EFSA (autorité européenne de sécurité des aliments), pour l’alimentation des enfants de 1 à 3ans, et surtout en cas d’infection bactérienne intestinale, on conseillera donc de :

  • Éviter une trop forte consommation de légumes à forte teneur en nitrates (ex épinards) : >200g/jour au cours d’un jour donné,
  • Éviter l’ingestion de soupe de légumes cultivés avec engrais nitratés
  • Éviter l’ingestion de soupe de légumes conservée longtemps après cuisson.

En pratique, pour la préparation des petits pots pour bébé, on retiendra quelques astuces pour limiter la présence de nitrates :

  • Consommer moins de 24h après la préparation ou congeler,
  • Cuire les légumes riches en nitrates et jeter l’eau de cuisson,
  • Éplucher les légumes,
  • Ôter la nervure des légumes feuilles.

On peut noter qu’en France, le taux de nitrates dans l’eau est réglementée (la limite de qualité est fixée à 50mg/L), ainsi la consommation d’eau du robinet n’entraine pas de risque de méthémoglobinémie.

Pour en savoir plus sur les nitrates et les nitrites, et le récent rapport de l’ANSES à ce sujet, cliquez sur ce lien : https://www.projetfees.fr/nitrates-et-nitrites-que-nous-apprend-le-recent-rapport-de-lanses/

Sources :

 

Publié en octobre 2022

Publié dans : FAQ

Une étude évalue l’exposition aux PFAS par l’alimentation durant les premiers mois de vie.

Une étude, publiée en juin dernier, s’est intéressée à l’exposition du nourrisson aux PFAS par son alimentation. (Retrouvez l’étude en suivant ce lien : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S016041202200201X?dgcid=raven_sd_search_email )

Rappelons que les PFAS (poly- et perfluoroalkylés), sont des substances  chimiques synthétiques appartenant à la grande classe des polluants organiques persistants.

Elles s’accumulent donc dans l’environnement et les organismes vivants, avec de potentiels effets nuisibles.

En raison de leur caractère hydrofuge, anti-salissure et anti-graisse, elles sont utilisées entre autres dans les matériaux d’emballage alimentaire et les revêtements antiadhésifs des ustensiles de cuisson.

372 nouveau-nés à terme en bonne santé néerlandais ont été inclus dans cette étude.

Le but était d’évaluer les apports quotidiens en PFAS par l’alimentation durant les 3 premiers mois de vie.

Les taux de certains PFAS (PFOA et PFOS) ont donc été mesurés :

  • dans le lait maternel aux âges de 1 et 3 mois ,
  • dans 6 marques de lait infantile,
  • dans le plasma des enfants à 3 mois et 2 ans.

Parmi les résultats, on peut noter une baisse des taux dans le lait maternel entre 1 et 3 mois (que l’allaitement soit exclusif ou non).

Pour les enfants allaités exclusivement ou de façon mixte, un apport quotidien + élevé en PFAS a été corrélé à :

  • un âge maternel + élevé,
  • une parité inférieure,
  • le fait d’allaiter pour la 1ère fois,
  • une quantité plus faible de lait infantile ingérée.

Un apport quotidien plus élevé en PFAS à 3 mois, était quant à lui associé à des taux plasmatiques plus élevés au même âge, mais également à l’âge de 2ans.

Précisons qu’aucun PFAS n’a été détecté dans les différentes marques de lait infantile.

Les auteurs concluent qu’au regard des bénéfices reconnus de l’allaitement maternel, ces résultats appellent à effectuer des recherches supplémentaires, notamment sur l’impact plus tardif de cette exposition précoce aux PFAS.

 

Nous tenons à rappeler qu’en effet, l’allaitement maternel présente de multiples bénéfices sanitaires prouvés, et reste donc le mode d’alimentation recommandé pour les nourrissons.

 

Au sujet des PFAS, notons qu’un congrès international : « PFAS : gestion des pollutions et des risques sanitaires » se tiendra à Paris le 20 octobre 2022.

Pour plus d’information sur ce congrès, cliquez ici : https://www.webs-event.com/fr/event/PFAS