La commercialisation de certains compléments alimentaires a été interdite en France suite à des effets indésirables graves.

Garcinia cambogia est une plante traditionnellement utilisée en Asie en tant que condiment dans des préparations culinaires et pour des usages médicinaux.

En France, l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) a interdit depuis 2012 la prescription et la délivrance de médicaments ou de préparations médicinales à base de Garcinia cambogia du fait d’une balance bénéfices / risques défavorable. Cette plante, interdite donc dans les médicaments, était cependant autorisée dans les compléments alimentaires « minceur ». Les propriétés amaigrissantes de la plante sont attribuées à une forme de l’acide hydroxycitrique (AHC) présente dans le fruit de la plante Garcinia cambogia.

Or, ces dernières années, les compléments alimentaires à base de cette plante ont été suspectés d’entrainer des effets indésirables graves (notamment des hépatites aiguës), même chez des personnes n’ayant aucun antécédent médical. Suite à l’analyse de 35 cas reçus par la nutrivigilance, l’Anses avait alerté la population et les autorités sanitaires sur les dangers liés à la consommation de compléments alimentaires contenant Garcinia cambogia.

L’anses, dans un article de mars 2025, préconisait de ne pas consommer ces compléments alimentaires.

Suite à l’avis de l’Anses, depuis avril 2025 leur commercialisation est suspendue en France pour un an, en attendant l’avis de l’Efsa (Agence Européenne de l’alimentation) qui mène actuellement une évaluation des risques associés à l’ingestion d’AHC.

Dans un article de l’Anses lié à ces compléments, on peut lire : « s’agissant des compléments alimentaires à visée amincissante, l’Anses rappelle que la recherche de perte de poids sans indication médicale formelle comporte des risques, en particulier lorsqu’elle fait appel à des régimes alimentaires déséquilibrés et peu diversifiés ».

Notons également que l‘agence rappelle aux professionnels de santé qu’ils sont invités à déclarer au dispositif de nutrivigilance les cas d’effets indésirables qu’ils suspecteraient d’être liés à la consommation de compléments alimentaires : https://www.nutrivigilance-anses.fr

Si vous souhaitez plus d’informations sur les compléments alimentaires, lisez l’article de la DGGCRF.

Ouverture de la Maison des 1000 Premiers Jours à Seclin : un nouveau lieu pour accueillir parents et enfants

La Maison des 1000 Premiers Jours est un lieu d’accompagnement pour les familles seclinoises, de la grossesse jusqu’aux 3 ans de l’enfant. Ouverte à tous, elle propose des services et des temps d’échange adaptés aux besoins des parents et des tout-petits.

Les 1000 jours de l’enfant étant essentiels à son développement, ce lieu unique favorise la création d’un environnement sain, sécurisant et stimulant tout en soutenant les parents dans les changements émotionnels et physiques qu’ils traversent.

En misant sur la prévention précoce, la Maison des 1000 premiers jours de Seclin agit pour réduire les inégalités sociales et promouvoir la santé physique, mentale et sociale des enfants dès le plus jeune âge.

La Maison des 1000 Premiers jours de Seclin vous accueille du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et 14h à 17h30.

Adresse :  65A, boulevard Hentgès, 59113 Seclin

Téléphone : 03 20 32 12 96

Mail : maison1000jours@ville-seclin.fr

18 septembre 2025 | Webinaire : Prévenir les expositions aux polluants environnementaux pendant la période périnatale

Un webinaire gratuit est proposé aux professionnels de santé d’Île-de-France, autour du thème : Prévenir les expositions aux polluants environnementaux pendant la période périnatale

18 septembre 2025 | 14h00 - 15h30 | En ligne

Au programme : 

  • Présentation du projet FEES
  • Pourquoi et comment sensibiliser les futurs et jeunes parents : les principaux conseils à transmettre

Mes patientes me posent des questions sur le air fryer : que puis-je leur répondre?

Le airfryer est un appareil de cuisson qui, comme un four, utilise de l’air chaud pulsé afin de cuire des aliments. Les ventes de airfryer sont en forte augmentation depuis ces dernières années, en raison notamment d’une large communication sur les réseaux sociaux.

Conçu pour cuire rapidement et sans graisse, cet appareil a de nombreux points positifs. Il permet de cuire avec peu ou pas d’huile mais il peut aussi rôtir, griller ou encore déshydrater les aliments. Il est programmable, parfois plus rapide qu’un four traditionnel, plus économique en électricité et plus pratique pour le nettoyage (certains modèles sont compatibles avec le lave-vaisselle).

Mais qu’en est-il de ses potentiels impacts sur la santé ? Quels conseils d’utilisation peut-on transmettre ?

 

  • Concernant la composition de la cuve et des accessoires

La cuve ou « tiroir » où sont placés les aliments et certains accessoires (comme des plaques de cuisson en céramique ou certains moules à gâteaux) sont recouverts d’un revêtement antiadhésif. Celui-ci peut être en PTFE : Polytétrafluoroéthylène (ou « téflon® »). Les revêtements de ce type peuvent dégager des gaz toxiques à des températures élevées (possible autour de 260°C). De plus, ils peuvent s’abimer plus ou moins rapidement en fonction de l’utilisation et relarguer alors des composés perfluorés.

D’autres accessoires peuvent entrainer la migration de substances problématiques dans les aliments, comme par exemple, des moules en silicone, du papier cuisson (dont des gammes spéciales airfryer), des moules en aluminium ou avec revêtements antiadhésifs, etc.

On conseillera donc de :

  • Faire attention aux revêtements antiadhésifs pour éviter qu’ils ne s’abiment : utiliser des ustensiles en bois, nettoyer sans éponge abrasive, bien vérifier que les cuves/tiroirs peuvent passer au lave-vaisselle,
  • Si possible, changer la cuve et/ou les plaques de cuisson dès qu’elles sont abimées,
  • Privilégier les accessoires en inox (ex. grille, broche, etc.) ou bien en verre (ex. plat en verre, ramequins, etc.),
  • Être vigilant au papier cuisson utilisé.

NB : Vous pouvez retrouver notre FAQ sur le papier cuisson ici : https://www.projetfees.fr/que-penser-du-papier-cuisson-et-des-tapis-de-cuisson-reutilisables/

 

  • Concernant les composés formés durant la cuisson

Comme pour toute cuisson forte, des composés problématiques peuvent se former dans les aliments comme des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) ou des acrylamides. Des particules ou des composés organiques volatils (COV) peuvent également être émis dans l’air intérieur.

Il est conseillé/rappelé de :

  • Aérer quand on cuisine,
  • Adapter le temps de cuisson à la taille de l’aliment, ne pas faire dorer à l’accès et ne pas consommer les parties les plus brunies.

Et plus spécifiquement pour la cuisson au air fryer :

  • Eviter/limiter l’utilisation des programmes avec des températures de cuisson les plus élevées,
  • Ne pas utiliser d’huile (ou très peu, pour limiter la formation de certains composés ex. HAP, particules, COV, etc.),
  • Placer le airfryer sous la hotte de cuisine ou dans un endroit bien ventilé.

 

De manière générale, on peut également insister sur le fait de :

  • Se questionner sur ses besoins concernant l’achat d’un air fryer (par rapport à d’autres appareils de cuisson déjà possédés comme le four),
  • Respecter le temps de cuisson préconisé par le fabricant (pour éviter tout risque bactériologique, par exemple, pour la cuisson de la viande),
  • Bien respecter les indications, consignes d’entretien et d’utilisation du fabricant pour s’assurer de la durabilité de son appareil.

 

Vous vous posez des questions sur les ustensiles de cuisson? Lisez également notre Faq sur la cuisson au micro-ondehttps://www.projetfees.fr/le-four-micro-onde-a-t-il-un-impact-sur-les-aliments/

 

Article publié en juillet 2025

Sources : 

https://www.quechoisir.org/actualite-airfryer-des-resultats-rassurants-concernant-les-pfas-n165276/?utm_medium=email&utm_source=nlh&utm_campaign=nlh20250327&at_medium=email&at_emailtype=retention&at_campaign=nlh20250327

https://www.quechoisir.org/guide-d-achat-air-fryer-n130986/?at_medium=sl&at_campaign=20599153189&at_platform=google&at_creation=157060080714&at_variant=677509079652&at_network=search&at_term=&gad_source=1&gclid=Cj0KCQiAhvK8BhDfARIsABsPy4hObzpK3fhdVCeFAnr9_SmS6eJQrzf8lx0wLgR_1M87MhzUXLwfD-AaAjDNEALw_wcB

https://www.quechoisir.org/breve-airfryers-les-friteuses-sans-huile-consomment-elles-vraiment-moins-d-electricite-n131754/

Lee JS et al. Effects of Thawing and Frying Methods on the Formation of Acrylamide and Polycyclic Aromatic Hydrocarbons in Chicken Meat. 2020.

Wang X, Chan AWH. Particulate Matter and Volatile Organic Compound Emissions Generated from a Domestic Air Fryer. 2023.

Navruz-Varlı S, Mortaş H.  Acrylamide formation in air-fried versus deep and oven-fried potatoes. 2024.

Publié dans : FAQ

Eco-anxiété : rapport d’une étude de l’ADEME et de l’Observatoire de l’éco-anxiété.

On parle de plus en plus de l’éco-anxiété, elle est définie comme une détresse psychologique découlant des inquiétudes face à la crise environnementale. Ce mal-être environnemental peut s’exprimer de différentes façons, et peut concerner les différentes tranches d’âge de la population. Pour la plupart des chercheurs, il est important de préciser qu’il ne s’agit pas d’une maladie mentale, mais d’une anxiété qui serait en fait une réponse rationnelle et saine face à la gravité des problématiques environnementales.

L’ADEME (Agence de la transition écologique) et l’observatoire de l’éco anxiété ont réalisé cette année (et pour la première fois en France) une étude à partir d’un échantillon représentatif (de 15 à 64 ans concernant par extrapolation 42 millions de Français) afin d’établir l’état des lieux de façon objectivée de l’impact de l’éco-anxiété sur la population française.

Les résultats de cette étude sont disponibles en téléchargement gratuit sur le site de la librairie/espace documentaire de l’Ademe :

https://librairie.ademe.fr/societe-et-politiques-publiques/8137-eco-anxiete-en-france.html

On peut notamment y lire que :

  • aucune catégorie socio-économique n’est épargnée, mais que chaque catégorie est touchée à des degrés différents,
  • l’éco-anxiété touche plus les femmes que les hommes,
  • mais elle ne touche pas que les plus jeunes,
  • même si les retraités représentent la catégorie socio-professionnelle la moins éco-anxieuse.

On y apprend également les différents stades de l’éco-anxiété avec leur(s) différent(s) symptôme(s):

  • Éco-indifférent (aucun symptôme) : 5,7 %
  • Éco-détaché (presque aucun symptôme) : 44,3 %
  • Éco-soucieux (parfois inquiété, mais pas stressé) : 25 %
  • Éco-préoccupé (premier symptôme de stress, sans menace sur la santé mentale) : 15 %
  • Éco-alarmé (inquiet et stressé plus de la moitié du temps, difficulté à dormir, isolement) : 5 %
  • Éco-effrayé (inquiet et stressé tous les jours, conséquences sur la santé physique) : 4 %
  • Éco-terrifié (symptômes permanents, impossibilité de gérer son angoisse, idées noires, risque psychopathologie avéré) : 1 %

On peut aussi lire dans le rapport qu’une prise en charge curative et préventive de l’éco-anxiété serait nécessaire aux niveaux individuel, collectif et sociétal.

On trouve ainsi des pistes pour savoir comment lutter contre l’éco-anxiété, à différents niveaux :

  • agir en faveur de la transition écologique pour atténuer les causes de l’éco-anxiété,
  • valoriser les éco-anxieux, qui par leur lucidité, savent comment mieux avancer dans la transition,
  • prendre en charge la détresse mental liée à l’éco-anxiété (en formant le personnel de soin par exemple.

L’essentiel étant de transformer l’énergie négative de l’éco-anxiété en énergie positive de résilience tournée vers l’éco-engagement, au service de la transition environnementale.

Retrouvez les principaux résultats de l’étude, sous forme d’infographie (exemple ci-dessous) en suivant ce lienhttps://infos.ademe.fr/societe-politiques-publiques/2025/eco-anxiete-etat-des-lieux-dun-mal-etre-grandissant?utm_campaign=Newsletter_ADEME_INFOS_402&utm_source=Connect&utm_medium=email

16 septembre 2025 | Webinaire : Activité physique et qualité de l’air, les bonnes pratiques pendant la grossesse

Professionnels de santé du Grand Est, le projet FEES et le CROS Grand Est vous invitent à un webinaire dédié aux recommandations et bonnes pratiques en matière d’activité physique pendant la grossesse.

16 septembre 2025 | 19h30 - 21h | En ligne

Au programme : 

  • Les dernières recommandations concernant la pratique d'activité physique en lien avec la qualité de l'air pendant la grossesse
  • Des conseils concrets à mettre en pratique
  • La présentation exclusive de notre nouvel outil destiné aux professionnel

Ville de Paris : Un atelier pour sensibiliser les futurs parents à la santé environnementale.

La Ville de Paris met en place « Mon premier atelier santé environnement » : des sessions gratuites, à destination des futurs et nouveaux parents, animées par des spécialistes dans les PMI de Paris.

Ces ateliers ont pour objectif d’aider à mieux comprendre l’impact de l’environnement sur la santé du bébé : produits d’hygiène, textiles, alimentation, jouets, produits ménagers… — et donner les clés pour agir simplement, sans bouleverser ni le quotidien ni le budget.

Le 4 juillet, Aurore Oliver (Formatrice FEES à l’APPA) , a animé l’un de ces ateliers au centre de protection maternelle et infantile (PMI) Caillebotte (20e).

Après un petit questionnaire pour évaluer les connaissances de chacune, l’atelier se poursuit grâce à des images affichées au mur, et parmi lesquelles les participantes choisissent les sujets qu’elles souhaitent aborder : une table à langer, une cuisine, des cosmétiques… Autant de points de départ pour des échanges vivants et concrets. En fin de séance, les participantes repartent avec des conseils concrets, mais aussi un kit pratique : un petit sac contenant des fiches explicatives, des ingrédients pour fabriquer des produits ménagers maison… et même un jouet en bois pour le futur bébé !

Retrouvez l’article de paris.frhttps://www.paris.fr/pages/un-atelier-pour-sensibiliser-les-futurs-parents-a-la-sante-environnementale-31824

 

Crédit photos : Clément Dorval / Ville de Paris

L’ARS Auvergne-Rhône-Alpes a lancé un nouvel appel à projets “établissements de santé et perturbateurs endocriniens“!

Dans le cadre de sa stratégie régionale de prévention “Petite enfance et environnement”, et suite à une enquête menée en 2022 sur les actions existantes et souhaitées dans les établissements ; l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes avait proposé en 2023 un premier appel à candidatures à destination des maternités, afin de soutenir financièrement le déploiement d’actions dans ces structures.

L’ARS Auvergne-Rhône-Alpes a souhaité reconduire cet appel à projets en 2025. L’objectif de l’appel à candidatures est d’accompagner des établissements de santé avec service de maternité ou néonatologie d’Auvergne-Rhône-Alpes dans le déploiement d’actions visant à réduire l’exposition de la femme enceinte et du jeune enfant (< 2 ans) aux perturbateurs endocriniens, qu’il s’agisse d’une exposition au sein ou en dehors de l’établissement.

Tout établissement intéressé pour développer un plan d’action, devra déclarer son intention à l’ARS au plus tard le 21 septembre 2025 à 00h00 en remplissant un dossier succinct sur la plateforme STAR FIR (le cadre de financement à sélectionner sous la plateforme Stars-FIR est « appel à projet / REGION-Ets santé & Perturbateurs endocriniens »).

Ce dossier précisera :

  • Les différents axes du projet succinctement ;
  • Le nom et les coordonnées d’un interlocuteur ;
  • Le calendrier envisagé ;
  • Un ordre de grandeur du budget envisagé pour l’action.

Les établissements dont le projet sera retenu devront ensuite compléter leur dossier sur la même plateforme avant le 12 octobre 2025.

L’accord de financement sera donné au plus tard le 20 octobre 2025.

Vous avez un projet d’actions au sein de votre établissement? N’attendez pas : remplissez votre dossier!

 

Lien pour le dépôt de dossier : https://www.stars-fir.fr/

Détails sur le cahier des charges et l’appel à projets : https://www.auvergne-rhone-alpes.ars.sante.fr/etablissements-de-sante-et-perturbateurs-endocriniens.

Cohorte MARIANNE : découvrez la campagne de communication et les outils dédiés aux professionnels de santé.

La Cohorte MARIANNE est un projet de recherche national piloté par un consortium scientifique et le CHU de Montpellier.
Soutenu dans le cadre de la Stratégie Nationale Gouvernementale des TND (2023-2027), ce programme étudie comment l’environnement et les gènes influencent mutuellement la survenue et la sévérité des troubles du neuro-développement chez l’enfant.

MARIANNE prévoit d’inclure dans son étude des familles résidant sur le territoire métropolitain : chacune composée du père, de la mère enceinte (tous deux majeurs), et du futur bébé.

Cette participation des familles étant d’une importance cruciale, des supports de communication sont disponibles pour les professionnels de santé, afin de mieux comprendre et présenter la cohorte aux familles:

  • une affiche (adaptée aux formats A3 et A4), idéale pour être apposée dans les salles d’attente, les lieux de passage ou encore les bureaux des professionnels de santé; où elle peut être vue par les familles.
    Elle comporte les contacts et liens utiles pour permettre aux familles qui le souhaitent d’en savoir plus sur l’étude MARIANNE et de prendre contact avec l’équipe.

  • un guide pour les professionnels de santé, sous la forme d’un livret de 8 pages. Conçu comme un outil permettant d’accéder rapidement aux grandes lignes directrices de l’étude MARIANNE, il comprend également un modèle d’échange type entre un professionnel de santé et une famille, présenté sous la forme d’une bande dessinée. Cet outil a été pensé pour aider les professionnels de santé à disposer des bons éléments de langage afin d’aborder le sujet de la Cohorte MARIANNE de manière fluide et efficace.

  • un dépliant pour les familles, créé pour présenter la cohorte aux familles. Il met l’accent sur les bénéfices de la participation à l’étude pour les familles et aborde également des point techniques (périmètre de recrutement, critères d’éligibilité…), de plus il comprend tous les contacts utiles.

Il existe également un compte Instagram de la cohorte, et une campagne digitale pouvant être partagée. 

Retrouvez l’ensemble de ces documents en cliquant sur le(s) lien(s) suivant(s) : https://cohorte-marianne.org/espace-professionnel-de-sante/comment-nous-aider/#patientehttps://cohorte-marianne.org/actualites-marianne/kit-communication/  

Vous pouvez également trouver plus d’informations sur la cohorte en consultant son site internet : https://cohorte-marianne.org/, notamment la page dédiée aux professionnels de santé : https://cohorte-marianne.org/espace-professionnel-de-sante/une-commande-publique/

Professionnels formés : le projet Fees vous propose un webinaire de mise à jour et approfondissement des connaissances

Vous êtes professionnel de santé en Auvergne-Rhône-Alpes et avez suivi une formation Fees ces dernières années?

Grâce au financement de l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes, et pour la première fois dans la région : cette année nous vous proposons un webinaire de mise à jour et d’approfondissement des connaissances!

Il aura lieu le jeudi 16 octobre, de 14h30 à 16h30 et sera l’occasion d’aborder 4 sujets :

  • Les protections menstruelles et les couches bébés
  • Les impacts placentaires des perturbateurs endocriniens
  • Les textiles
  • Les jouets

N’hésitez pas, cliquez et inscrivez-voushttps://app.livestorm.co/mfara-3/fees-mises-a-jour-des-connaissances

Vous êtes professionnel de santé en région ARA, intéressé par la santé environnementale mais vous n’avez pas suivi de formation Fees?

Vous pouvez vous sensibiliser au sujet en vous inscrivant à notre cycle de webinaire « santé environnemental et périnatalité », plus d’infos ici :  https://www.projetfees.fr/cycle-de-webinaires-fees-2025-pour-la-region-auvergne-rhone-alpes/ ; ou consulter les dates de formations en région : https://www.projetfees.fr/formations-en-region-auvergne-rhone-alpes/